Quand on est sur Internet en 2019, il est primordial d’utiliser des outils de recherche. Il s’agit donc d’agréger, de devenir journaliste, de philosopher, c’est à dire d’associer sur ses limites au lieu de dissocier. Seulement, on constate que les internautes n’ont seulement pas appris cela à l’école, mais l’école a défait les enfants par dissociations.
Il est inutile de chercher sa vérité sur Internet. On le fait mieux dans la rue ou avec son voisin. Pourtant, je constate que les internautes sont les premiers à discuter avec leur téléphone pour se comprendre sans obtenir mieux qu’une discussion avec quelqu’un en face d’eux. Cela crée deux ruptures. D’une part ils deviennent dépressifs avec les écrans à lumière. D’autre part, ils ne savent plus parler avec des personnes inconnues, prenant alors peur des nouveautés originales ou vraies.
Un chercheur m’avait indiqué qu’il ne trouvait plus les informations grâce aux moteurs de recherche. En effet, quand un scientifique doit chercher l’information, il doit se mettre du côté du pour et du contre. Mais cela doit être prouvé, testé, expérimenté. Or les moteurs de recherche permettent tous le droit à l’oubli. Ainsi, on peut certaines fois se rendre compte que ceux-ci n’informent certaines fois aucunement sur ce qu’on a cherché. Si on tente de vérifier une information peu diffusée, on s’aperçoit certaines fois qu’elle est oubliée par les moteurs de recherche.
Facebook est beaucoup plus utilisé. Je ne suis aucunement informé sur les nouveaux mouvements par Facebook. Son filtrage est donc encore plus visible. Ainsi en février 2019, lorsque vous tapez sur votre clavier le nom d’un groupe, que vous vous apercevez que les partages changent de place, vous pouvez vous dire qu’il y une information cachée par ce chaos. Il se peut même que le partage disparaisse temporairement pour se réafficher. Si vous partagez cette information, alors vous voyez les partages agrégeant peu de monde, ne pouvant donc faire revenir les autres sur ce partage. Le groupe lui ne voit que les partages ou robots montrant les egos. Alors les internautes ne parlent que de leurs egos dans les réunions du groupe, alors qu’on ne se comprend que par le social.
Les sites web participatifs à modération a priori, c’est à dire à partage immédiat, se font de plus en plus rares. Aucun particulier ne peut plus se permettre cela à cause de l’UE. Tout contenu exclusif ou litigieux selon les autorités doit être enlevé dans le 24 heures.
L’autorité impose d’enlever un contenu selon une sélection empêchant aux groupes de se fédérer selon la loi anti-terroriste. Par exemple, lorsqu’un indépendant diffuse une information, celle-ci peut être reprise à moitié par les médias. Ces médias vont alors demander un droit d’auteur par rapport à leur image, des logos, faisant croire à une prétendue origine de l’information. Alors, cette information reprise à moitié pourra non seulement être censurée par un prétendu droit d’auteur, mais aussi falsifiée, voire contredite ou spammée.
Si vous diffusez votre nouvelle cause, comme en parle Planck, sur un réseau social, alors vous pouvez dire adieu à votre politique. En effet, les réseaux sociaux privatifs ne permettent aucune information vérifiable par des journalistes humains. Pire, Facebook et Gogole possèdent une intelligence artificielle qui analyse ce que vous mettez. Ainsi, le Huffington Post a écrit des articles inspirés de blogs ou sites web, pour ensuite dissocier les internautes. Le pire, c’est que ces blogueurs ont même pour certains voulu écrire dans le Huffington Post, se décrédibilisant pour leur défense en justice.
Aussi, on n’enseigne plus à philosopher dans les écoles. Mais en plus on apprend à manipuler dans les universités. Les scientifiques savent que la manipulation ne tient pas longtemps car la méfiance n’est pas économique. Seulement quelqu’un qui se focalise à manipuler un humain peut lui-même être manipulé facilement, parce que la manipulation sert évidemment à empêcher de chercher la vérité. Au bout d’un moment, on veut chercher la vérité. C’est le mouvement des gilets jaunes.
Il y a donc un problème majeur sur le droit d’auteur, né par ailleurs au moment où l’on commençait à diffuser par l’impression. La Res Publica signifie la chose publique. Autrement dit, une république définit ce qui est public pour permettre un développement. Toute œuvre était diffusée dans le domaine public immédiatement. Par contre les artistes devaient se payer avec leur notoriété. Lorsqu’est venu le droit d’auteur, l’auteur rémunéré pouvait être censuré par l’exclusivité. C’est pour cela qu’il est très difficile actuellement de trouver de nouvelles informations contre la corruption.
Pire, l’école nous apprend à nous auto-censurer par le respect de ceux qui ont écrit avant nous. Ainsi les bons élèves ne voudront aucunement remettre en cause ce qui a été dit. Vous pouvez donc dire adieu à tout respect d’une quelconque technologie ou découverte de rupture, par ailleurs non valorisée par les cours d’histoires. Ainsi, nos industries empêchent le remplacement des médicaments obsolètes par le silicium organique ou l’analyse des micro-ondes du corps. Ainsi la Chine s’est développée en mettant la monnaie et les inventions ou découvertes dans le domaine public. La Chine est une république, pas la France.
En 2019, toute œuvre est protégée si on ne fait rien. Par contre, il faut être diffusé par les intelligences artificielles pour être diffusé. Si votre information est dangereuse pour le pouvoir, selon la loi contre le terrorisme, votre information doit être légalement censurée. Cela peut être immoral. Ainsi une vieille information importante pour même être oubliée par les moteurs de recherche. En plus, il n’y pas de juge pour savoir si l’information est importante actuellement.
Si on veut fournir les sources pour prouver ce qu’on dit, on peut dorénavant en être empêché par le droit d’auteur. Donc on nous parle de Fake-News en instituant la désinformation.
La censure a déjà permis de retarder le mouvement des gilets. Beaucoup voyaient des SDF dans la rue et les logements vides à la campagne sans faire le lien avec leur situation, parce que les médias et leurs recherches leur faisait croire à une harmonie virtuelle. Pourtant les médias parlent de chaos régulièrement. Seulement beaucoup ne s’intéressent pas à l’avenir et n’ont pas vu la supercherie, qui était dans la rue et les campagnes, voulant faire partie d’un collectif divisé. Il s’agit donc pour chacun de retrouver son âme qui veut l’avenir et chercher la vérité, pas le groupe, groupe qui veut la protection des autres par l’intérêt général, pas survivre par son ego.