La monnaie privée rend les spéculateurs vicieux pour rendre la population idiote. Ainsi beaucoup d’informaticiens travaillent sur des langages logiciels interprétés ou semi-compilés qui sont non sécurisés, comme Java, Python, Ruby, PHP. À partir du moment où un langage semi-compilé peut être compilé, comme PHP ou Python, il reste toujours le problème de l’infiltration par les chaînes. Ainsi le Pascal ou le C, qui sont compilés, permettent difficilement l’exécution de chaînes. Alors ces langages sont mieux sécurisés.
Pourquoi le langage Java est-il encore sur-financé ? Il existe pourtant des alternatives comme le Pascal, pour lequel le Go s’est inspiré. Le PHP tombe son l’utilisation. Seulement beaucoup de bons logiciels sont privatifs. Ainsi, il existe la précarité du logiciel, où l’on est obligé d’installer son serveur Wordpress en PHP, alors que ce service est totalement attaquable.
Il devient donc primordial de créer un service du logiciel libre comme à Nantes, encore faut-il éviter les langages non sécurisés. Le gain ne sera pas que pour Nantes, qui pourra former les autres villes. Il sera pour le monde, qui pourra s’approprier les logiciels créés. Ainsi le logiciel libre est plus efficace que l’argent, encore faut-il des services publics, comme à Nantes.
Nous ne mangeons pas de logiciel. Il est ainsi inconcevable de recréer le même logiciel dans une centaine d’entreprises différentes. C’est pourtant ce qui se passe. À Nantes, il y a les Airbus. Donc les logiciels libres permettront de standardiser la création de logiciels d’aviation. En effet les langages arriérés ont nuis à la conception des Airbus.
Rennes avait acheté un logiciel pas cher de gestion d’horaires de bus. Ce logiciel fonctionne mal. Ces idiots d’élus veulent payer des entreprises privées. Ils ne veulent pas avoir la main sur ce qu’ils ont. Ainsi ils ont dû refaire en libre, avec l’aide des contribuables, les logiciels de gestion d’horaires de bus. Aussi les archives municipales de Rennes ont dû externaliser le logiciel de visualisation d’archives. Alors l’entreprise malgache, qui voulait évidemment faire de la marge, a alors facturé toute impression 20 €.
On pourrait répéter les mêmes ennuis dans l’ensemble des villes du monde. Il ne s’agit pas de donner de l’argent aux entreprises. Notre économie fonctionne sur l’économie de travail, permise par les industries. En surchargeant de services, les industries ont du mal à vivre. D’ailleurs, beaucoup d’industries en 2015 étaient restées à Windows XP, voire Windows 98. La précarité du numérique, ça peut être aussi pour les industries, qui doivent pourtant passer aux robots, permettant l’économie de travail.
Avec une monnaie publique, il est possible de créer un statut d’intermittent pour tous les auto-entrepreneurs. Alors nous pourrons aussi recréer l’ensemble des industries, détruites par la monnaie privée, voyant sur le court terme.